Until a ceasefire covers all rebel groups, war will rage on in Syria.
This fragile pact could work. But unless the Assad regime and its backers reconcile with the groups it still calls ‘terrorists’, further conflict is more likely says Ranj Alaaldin.

à propos de la guerre en Syrie (Bachar Al Hassad contre les gentils terroristes)
Ce billet a été publié sur le site "Les Crises " avec cette introduction d'Olivier Berruyer.
"Intéressant psychodrame à Mediapart – qui aide à réfléchir sur l’information et les médias. Dommage, j’aurais bien discuté avec l’auteur… Je rappelle que je trouve l’expérience Mediapart formidable – et chacun mesure ce qu’on leur doit sur plein de sujets : politiques, éthique, économie (ah, Martine Orange…), libertés publiques, fraternité, etc. Je recommande vraiment de les soutenir en vous abonnant. Après, c’est moins formidable au niveau international de moins point de vue, mais que voulez-vous, le média parfait n’existe pas. C’est d’ailleurs une grave erreur de trop en attendre, il ne faut jamais se fier à une seule source pour s’informer, bien au contraire. Le souci n’est pas tant que vous ne trouviez pas que Mediapart soit parfait. Non, le souci évident c’est : mais pourquoi n’y a-t-il pas 20 Mediapart – et que faudrait-il faire pour y arriver ?

Après quatre années de guerre et bien des trêves avortées, un cessez-le-feu a été instauré dans la nuit en Syrie. C'est une éclatante victoire diplomatique pour Poutine. Et quoi qu'on pense du président russe, on ne peut que se réjouir, juge ce vendredi matin la presse. « Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan faisant taire les armes s'offrent une paix retentissante, assure ainsi Denis Daumin, de La Nouvelle République du Centre-Ouest. C'est un immense succès diplomatique, d'autant plus grand qu'il se scelle sur le dos d'un grand absent, l'Amérique et subsidiairement ses coalisés. Voici le tsar et le sultan biffant les conditions de cet accord improbable et redessinant, déjà peut-être, les frontières de ce Levant perpétuellement déchiré. [...] Le président russe savoure sa victoire. Garant de la paix ou maître du monde, il n'a jamais si bien porté son prénom, Vladimir, qui dans sa langue désigne les deux choses à la fois. » Suite....

Extrait concernant l'intervention russe en Syrie.

The head of the main opposition Syrian National Council (SNC) said on Friday an international “Friends of the Syrian People” meeting in Tunis had fallen short of the aspirations of the Syrian people. “This conference does not meet the aspirations of the Syrian people,” SNC chief Burhan Ghalioun told Reuters. Earlier, Ghalioun outlined the council’s vision for a post-Bashar al-Assad Syria, proposing an interim presidential council of national leaders and a truth and reconciliation committee. In a copy of his speech at the meeting in Tunis, SNC leader Ghalioun called for the continuation of the uprising until Assad was ousted or handed over power as per an Arab League plan. After that, Ghalioun called for the “formation of a presidential council composed of national leaders and the formation of a transitional government of political, military and technocratic figures who have not fought against the revolution.”

Les négociations doivent reprendre samedi entre la Croix-Rouge internationale, le régime et les opposants syriens pour faire sortir de Homs deux journalistes étrangers blessés, et les corps de deux autres tués, après une journée de pourparlers n'ayant pas permis leur évacuation.
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et le Croissant-Rouge syrien ont évacué vendredi soir des "victimes syriennes" de Baba Amro à Homs, mais n'ont pas encore fait sortir les deux reporters occidentaux blessés, Edith Bouvier et Paul Conroy et les corps de deux autres reporters tués, Marie Colvin et Rémy Ochlik.

Representatives of more than 70 nations in Tunisia for the "Friends of Syria" meeting have called for an immediate end to violence in the country and for new sanctions on the government of President Bashar al-Assad. In a final declaration on Friday, the group also called to allow for humanitarian aid to be brought in. It vowed to "press the Syrian regime to stop all acts of violence" by enforcing current sanctions and introducing new ones, including with travel bans, asset freezes, ceasing oil purchases, reducing diplomatic ties and preventing the shipment of arms